Auteur : lesextravacances

Le 31/01/16

Grenade fut découverte par Christophe Colomb qui la baptisa « conception ». Plus tard, les navigateurs espagnols lui donneront son nom actuel, comparant ses sommets verdoyants aux montagnes dominant leur ville andalouse de Grenada. Colonisée ensuite par les anglais, ce nom fut conservé. Grenade réunit de nombreuses qualités : au centre les reliefs d’origine volcanique disparaissent sous une forêt verdoyante et se terminent sur le rivage en criques profondes ou en longues plages bordées de cocotiers. L’eau est claire mais on est loin des couleurs lagon des autres îles.

Nous avons commencé la visite de Grenade par la côte ouest. Ce jour-là, il y avait beaucoup de vent. Nous nous sommes abrités dans le premier mouillage en venant du nord à Halifax. C’est une jolie crique abritée entre deux collines verdoyantes. Le mouillage était quasi-désert. Nous y avons passé la nuit.

Le lendemain, nous avons rejoint Saint George, la capitale de Grenade. Comme, la météo annonçait davantage de vent pour les prochains jours, nous avons passé quatre nuits à la marina de Port Louis dont les aménagements ont été récemment créés. Elle offre ainsi un cadre aussi agréable que luxueux. Durant notre séjour, nous avons largement profité de sa jolie piscine qui faisait face aux yachts.

Nous avons également visité Saint George dont le centre-ville est une succession de rues escarpées au flanc de ses collines. Nous avons déniché au bout du quai du port un excellent restaurant, le BB’S. Les plats aux couleurs locales étaient absolument délicieux et l’humour un peu décalé du patron, nous a fait beaucoup rire. La note était salée mais ça valait le coup !

 

Nous nous sommes aussi rendus en taxi à Grand Roy marigot pour faire une randonnée. Nous avons découvert les trois cascades : Concord falls, Au coin Falls et Fontainbleu Falls. Comme le sentier dans la jungle n’était pas balisé, nous avons pris un guide. Laurent et les enfants ont beaucoup apprécié cette balade. Personnellement, mon appréhension des bébêtes m’a un peu gâché le plaisir.

Nous avons profité aussi d’être à quai pour nous occuper de Vaga. Laurent a passé quelques heures dans la cale du moteur bâbord car il trouvait que le rejet eau de mer du circuit de refroidissement était faible. Après entretien de la pompe à eau (rouet, couvercle), nettoyage du collecteur d’échappement et de l’échangeur (calamine), et démontage de toutes les durites, le problème a été identifié sur la durite/vanne passe coque qui était légèrement fendue et qui créait un appel d’air (tout ça pour ça !). Il a également brossé le pont et le cockpit. J’ai pu faire quelques machines à laver et un avitaillement au supermarché bien achalandé.

En partant de la marina, nous sommes légèrement remontés vers le nord pour Moliniere point. Nous y avons fait un étonnant snorkeling. Nous avons nagé autour de statues immergées sous l’eau. C’était un spectacle assez impressionnant.

Enfin, nous avons rejoint le sud de l’île qui est découpé par de véritables fjords offrant un grand nombre de mouillages. Notre première escale fut à Prickly Bay. Une belle surprise nous attendait à terre : une boucherie française ! Après 6 mois à ne manger que du poulet ou du poisson, quel bonheur de découvrir cette vitrine avec toute cette viande qui nous faisait saliver. Nous n’avons pas attendu très longtemps pour déguster nos entrecôtes, nos saucisses et nos merguez car le restaurant d’à côté mettait à disposition des clients un barbecue en échange d’une consommation. On ne s’est pas fait prier ! Laurent a vite retrouvé ses marques devant le barbecue. Waouh quel festin !

Notre seconde escale dans le sud de Grenade fut à Hartman Bay. Nous savions que Pascal, le frère d’une amie savoyarde (Christelle) s’y était installé depuis 6 mois avec Corine, son épouse, et ses 2 enfants. Ils vivent sur un catamaran, Ti Ama, et Pascal travaille sur l’île. Nous ne les connaissions pas mais nous avions très envie d’aller les saluer et nous étions assez curieux de connaître leur vie sur Grenade. A notre arrivée dans la baie en fin d’après-midi, ils n’étaient pas sur leur bateau. Ils ne sont rentrés que tardivement. Comme nous devions reprendre le large dès le lendemain matin, ils nous ont proposé un café juste avant de partir. Pour finir, du café, on est passé à l’apéro pour continuer sur un bon repas. Assez vite nous avons capitulé et décidé de remettre notre départ au lendemain. De plus le soir même, dans la baie, une grande fête était organisée par un riche armateur français, George Cohen (le patron de Pascal), pour clôturer la célèbre régate Grenada Sailing Festival qui a lieu chaque année en janvier. Nous avons donc assisté à cet évènement et fait la connaissance de leurs amis français qui résident également sur Grenade et qui travaillent aussi pour George Cohen. C’était une jolie fête, bien people, dans un lieu magnifique et nous avons fait de très belles rencontres.

Le lendemain de la fête, tôt le matin, avec un peu mal aux cheveux, nous avons quitté Grenade. Nous allons tranquillement remonter sur la Martinique en faisant quelques escales.

Le 23/01/16

Après Petit-Saint-Vincent, nous avons rejoint Carriacou qui fait partie des Grenadines de Grenade. C’est la plus grande et la plus peuplée des iles des Grenadines. Hors de la fréquentation touristique intensive, cette île a conservé son caractère authentique. Nous avons d’abord fait escale à Hillsborough Bay pour faire les formalités d’entrée sur le territoire des Grenadines de Grenade. Cette petite bourgade, chef-lieu de l’île, ne compte que quelques rues bordées de cases assez modestes et un peu délabrées. Les enfants n’ont pas raté de nous faire remarquer : « ils sont pauvres ici ! ». L’ambiance y était pourtant fort sympathique. Nous avons été reçus comme des princes dans un restaurant où nous avons mangé du lambi (gros coquillage), la spécialité locale, à un prix très raisonnable.

Notre seconde escale fut à Tyrell Bay qui est reconnue pour l’un des mouillages les plus tranquilles des Grenadines. En effet, même avec plusieurs bateaux, cette vaste baie ne parait jamais trop surpeuplée.

Elle a aussi la particularité de posséder un abri anticyclone enserré dans la mangrove. Pour protéger la réserve d’huitres de palétuviers, le mouillage y est interdit sauf durant les alertes cycloniques. En revanche, comme sa visite en annexe était autorisée, nous avons fait une jolie balade dans la mangrove.

Carriacou n’est pas la plus jolie des îles des Grenadines. Elle possède de nombreuses plages et des coraux mais on est loin des décors carte-postale des autres îles. Son aspect vallonné, verdoyant et la gentillesse des habitants, en font pourtant une escale très agréable loin des Resorts et des îles privées !

Nous avons quitté Carriacou pour rejoindre Grenade et pour le déjeuner nous avons fait une halte sous le vent de l’île ronde. Cette île est inhabitée et possède de très beaux récifs (raies, poissons perroquets, coraux…)

Le 21/01/16

Après notre escale à Union où nous avions fait la clearance (formalités de sortie du territoire) nous souhaitions tout de même nous rendre à Petit-Saint-Vincent. cette île appartient encore aux Grenadines de Saint-Vincent mais se situe après Union sur la route des Grenadines de Grenade. Légalement, nous ne pouvions donc pas nous arrêter sur cette île mais une certaine tolérance semble être admise pour une courte escale.

Juste avant d’arriver dans la jolie baie de Petit-Saint-Vincent, nous avons jeté l’ancre face à l’îlot Morpion. Nous ne pouvions pas rater la photo mythique des grenadines de cette ilot de sable blanc que l’on repère facilement par son unique papillote au toit de feuilles de coco.

Le mouillage de Petit-Saint-Vincent était bien abrité. Nous faisions face à une belle plage de sable blanc et au luxueux hôtel le Petit-Saint-Vincent Resort. Du très haut de gamme ! Nous ne pouvions pas envahir l’espace verdoyant entourant les jolis cottages mais nous avons pu faire le tour de l’île par la plage qui est absolument sublime !

Le 20/01/15

Nous sommes arrivés à Union avec la pluie. Enfin, plutôt avec des trombes d’eau ! Beaucoup de bateaux étaient déjà au mouillage. En slalomant entre eux, nous avons, au bout d’un certain temps, trouvé une place.

A peine l’ancre était jetée que nous nous faisions houspiller par nos voisins français de mouillage. Ils trouvaient que nous étions un peu trop près d’eux et surtout que nous étions sur le chemin de passage. Quel chemin de passage ? Aucune bouée ne le signalait ! Le ton est monté, nous avons échangé des mots et retrouvé avec regret la belle mentalité française ! Il était, bien sûr, hors de question que nous passions la nuit à côté de ces vieux C…. Ça pouvait dégénérer ! Nous avons donc remonté l’ancre.

Toujours sous une pluie battante et avec la nuit qui tombait, nous désespérions de trouver une nouvelle place. Enfin, un peu plus loin, Laurent décide de jeter à nouveau l’ancre. Nous étions trempés et gelés !

Nous commencions, tout juste, à nous réchauffer quand nous avons remarqué qu’un traine-couillons venait de s’amarrer à sa bouée à quelques mètres de nous. Et mince, nous n’avions pas vu la bouée ! Puis d’un coup, le vent se mit à tourner. Je ne sais pas si c’était à cause de la taille des bateaux ou de courants inverses mais nous ne bougions pas de la même façon. Le cul de Vaga se rapprochait dangereusement de l’avant de l’autre bateau. Pendant que je le poussais avec mon pied, Laurent raccourcissait la chaine et a vite installé un pare battage. Ouf ! La catastrophe a été évitée ! Mais encore une fois, nous devions changer d’emplacement.

Heureusement, à quelques mètres un catamaran partait. Nous avons donc  un peu patienté et pris sa place. Pour finir, nous avons passé une nuit bien paisible.

Il a plu toute la nuit. Au petit matin, le ciel était tout dégagé. Nous sommes donc allés visiter le village de Clifton. Nous devions également faire les formalités de sortie du territoire des Grenadines de Saint –Vincent. Union est la dernière île de cet archipel qui possède un service de Custom et d’immigration. Ce qui explique le monde au mouillage dans cette baie qui n’a pourtant rien de spectaculaire.

Le 19/01/16

Après avoir quitté les Tobago Cays, nous avons fait escale à Palm Island. C’est une toute petite île située à 800 mètres d’Union. Elle est bordée d’un vaste récif de corail. Elle est occupée par un joli complexe hôtelier dont les bungalows sont dissimulés sous les palmes d’une splendide cocoteraie.

 

Nous sommes arrivés sur cette île en fin d’après-midi et nous étions seuls au mouillage. Le bonheur ! Nous avons bu l’apéro en toute tranquillité en contemplant un magnifique coucher de soleil.

C’est une île privée mais l’accès à la plage est autorisé aux plaisanciers à condition de respecter la quiétude des clients de l’hôtel. Ça, ce n’était pas gagné avec les enfants ! D’ailleurs à deux reprises, un garde est venu gentiment nous demander de les calmer. Mais comment expliquer à des enfants qui jouent dans l’eau de ne pas faire de bruit ! Nous ne nous sommes donc pas éternisés. En plus, au loin, le ciel menaçait, un bel orage allait éclater. De retour sur le bateau, Laurent a très vite mis les moteurs pour rejoindre, avant la pluie, l’île d’Union située juste en face.

Le 18/01/16

Les Tobago Cays apparaissent comme 5 petits îlots posés au milieu d’un immense lagon et protégés du large par une grande barrière de corail.

Les Tobago, c’est aussi des plages de sable blanc bordées de palmiers qui sont restées à l’état sauvage. Ici, pas d’hôtel ni de village. Les îlots ne sont pas habités. Seul un petit restaurant est installé sur l’îlot principal.

Nous avons mouillé devant Petit Bateau et Jamesby face à Baradal. Il y avait beaucoup de vent donc le mouillage était très agité et inconfortable car peu protégé. L’autre inconvénient des Tobago est la saturation des voiliers. Nous étions loin d’être seuls au mouillage. De nombreux bateaux nous entouraient.

Ainsi, après un bon snorkeling dans les fonds clairs du lagon et la visite de la jolie île sauvage, Petit Tabac, nous avons repris le large dès le lendemain de notre arrivée. Nous allons essayer de trouver un mouillage moins fréquenté mais surtout plus abrité car d’après la météo, le vent devrait forcir ces prochains jours.

Le 17/01/16

Mayreau est une toute petite île de moins de 3 km. Nous avons jeté l’ancre à Salt Whistle Bay au nord de l’île. C’est pour le moment mon coup de cœur des Grenadines ! Cette petite baie est arrondie et bien abritée du vent. La très belle plage est séparée d’une autre plage côté vent par une mince bande de terre. Un hôtel, le Salt Whistle Bay club, est très bien dissimulé sous une cocoteraie. Le long de la plage, les locaux ont improvisé des petits restaurants dans des cabanes de pêcheurs. Dans ce magnifique décor, j’ai trouvé l’ambiance très sereine et détendue. Nous ne devions y rester qu’une seule nuit mais nous avons prolongé notre séjour tellement nous étions bien. Comme nous avions jeté l’ancre à seulement 40 m de la plage, nous nous y rendions à la nage et en paddle pour porter les serviettes. Thomas et Janelle ont rencontré des petits français. Ils allaient et venaient entre la plage et le bateau en toute liberté. Nous nous retrouvions un peu de tranquillité.

Pour couronner le tout et finir en beauté dans ce décor de rêve, nous avons dégusté 2 belles langoustes que nous avions achetées aux pêcheurs.

J’ai quitté ce petit coin de paradis avec beaucoup de regrets mais nous devons poursuivre notre route. Il nous reste encore de nombreuses îles à découvrir aux Grenadines. Notre prochaine étape sera les Tobago Cays.

Le 15/01/16

L’île de Canouan était considérée jusqu’à peu de temps comme la pauvre « Cendrillon » des Grenadines. Suite aux investissements d’un groupe étranger, elle semble vouloir aujourd’hui rouler carrosse vers les fastes du tourisme de luxe. Nous ne sommes restés que deux jours sur cette île. Nous avons passé la première journée à Rameau Bay qui est propice au snorkeling puis nous avons mouillé pour la nuit à Charlestown Bay face au luxueux hôtel Tamarind qui occupe la grande partie de la lisière de la plage. Nous avons pu ainsi profiter de son bar sur la plage tout en surveillant notre bateau.

Enfin, en navigation, Laurent a pêché deux barracudas. Ce n’est pas un très beau poisson mais cuisiné en papillote, nous nous sommes régalés.

 

 

Le lendemain, à pied, nous nous sommes rendus de l’autre côté de l’île, la côte au vent, pour admirer la grande barrière de corail et nous baigner dans The Pool, un beau lagon classé réserve naturelle. Pendant longtemps, ce coin de l’île est resté sauvage. Il est aujourd’hui occupé par le Raffles Resort et son casino, ce qui lui a fait perdre beaucoup de son isolement et de sa quiétude.

Au village de Charlestown, nous avons pu faire un petit avitaillement en produits frais en vue de notre prochaine étape aux Tobago Cays.

 

Le 14/01/15

Moustique est surnommée « l’île aux milliardaires ». C’est une île privée gérée par la Mustique compagny qui en assure l’intendance. De nombreuses célébrités du show bizz et de la Jet-Set internationale (Mick Jagger, Davide Bowie…) y possèdent une luxueuse demeure. Pourtant à l’origine, les plages de Moustique n’étaient fréquentées que par quelques pécheurs, jusqu’au jour où cette petite île fut investie par un riche promoteur britannique Colin Tennant. Il sut intéresser à son projet la princesse Margaret puis d’autres clients richissimes suivirent.

Moustique est un petit écrin, ses plages et ses coraux sont intégrés dans une réserve protégée. Le mouillage n’est autorisé que dans la baie principale, C’est donc à Britannia Bay que nous avons séjourné. A notre arrivée, un boat boy portant l’uniforme de la Mustique Compagny, nous a indiqué notre bouée payante car il est strictement interdit de jeter l’ancre. Le mouillage était un peu rouleur mais la vue splendide.

Nous nous sommes rapidement rendus au village car nous souhaitions acheter du poisson. Nous sommes arrivés trop tard, il était déjà fermé ! Depuis notre arrivée aux Antilles, nous n’avons plus rien pêché. Laurent a bien eu quelques touches mais la plupart du temps le poisson lâchait ou trop gros (comme un marlin), il repartait avec notre leurre. Le minuscule village s’étend sur une route principale bordée de petites maisonnettes aux couleurs vives qui abritent quelques petits commerces d’articles de mode (de luxe !), une épicerie et une boulangerie.

L’île mesure 5 Km2, nous l’avons visité à pied. On peut dire que la Mustique Compagny fait bien son travail ! Tout est impeccable : pelouse tondue, haies taillées, route pavée et zéro déchet. En chemin, nous sommes passés devant le petit aéroport où atterrissent les jets privés. Nous devinions également les belles propriétés dissimulées sous la végétation mais impossible de s’en approcher à cause des panneaux « private road ». Nous avons rejoint la côte au vent jusqu’à la belle plage sauvage de Macaroni Bay. Nous n’avons croisé aucun touriste lors de notre promenade seulement de riches propriétaires à bord de mini-moke (petite voiture de golf).

A notre retour sur Britannia Bay, en recherchant un point de vue de la baie en hauteur, nous avons trouvé un petit restaurant local à la portée de notre bourse. Nous y avons mangé le soir même en profitant de la vue illuminée de la baie à la nuit tombée.

Moustique fut une belle escale dans un endroit hors du commun. Un petit paradis protégé qui manque pourtant, à mon gout, de vie et d’authenticité.

Le 12/01/15

Bequia est l’île des grenadines la plus proche de Saint Vincent. En 4h de navigation au moteur, faute de vent, nous avons rejoint Admiralty Bay, la principale baie de l’île. Et là waouh ! Ca y est, on y était aux grenadines ! Pour de vrai ! Tout y était : lagon, cocotiers, plage de sable blanc et petites maisons colorées éparpillées dans la colline. Même les enfants étaient impressionnés par ce décor.

A peine arrivés, Thomas plongeait avec son masque et son tuba et au bout de 5 minutes, il jouait avec une tortue. Nous avons passé notre première nuit accrochés à une bouée payante face au village de port Elisabeth. Le lendemain, nous avons visité ce village et passé notre après-midi sur une magnifique plage. Le programme était simple : Un peu de farniente, de baignade et de snorkelling.

Pour notre seconde nuit, nous avons préféré mouiller à l’ancre face à la plage. Après quelques courses au village, nous avons quitté cette baie pour rejoindre Friendship bay située sur la côte sud de Bequia. Rien à voir avec Port Elisabeth. La plage était jolie mais les couleurs n’y étaient pas ! En revanche, nous étions plus que tranquille au mouillage car nous n’étions que 3 bateaux. Puis une belle surprise nous attendait sous l’eau : Des centaines de langoustes étaient accrochées au récif à 50 mètres du bateau. Pouvions-nous nous servir ? J’en doute. Elles étaient vraiment trop petites et les pécheurs nous surveillaient ! Il devait s’agir d’une nurserie.